06.03.2008, 00:38
Последний раз редактировалось guenter; 06.03.2008 в 00:45..
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Мэтр
Дата рег-ции: 02.12.2004
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ferrarirus, просто чтобы Вас encourager  - почитайте статью в последнем номере Капитала "Les nouvelles clés de la réussite sociale". Цитирую часть:
Цитата:
La persévérance paie : j'ai eu mon MBA en bossant 15 heures par jour
Certains soirs, il en pleurait d'épuisement, Ferid. Parce qu'enfin, huit heures de cours quotidiens en anglais, suivies de cinq heures de travail à la maison, week-ends compris, pour décrocher un MBA, il faut quand même se les envoyer. Surtout quand on va sur ses 44 ans, qu'on a quitté l'école à 13 et qu'entre les deux on a enchaîné les petits boulots commerciaux, le chômage, un contrôle fiscal et un dépôt de bilan. "C'était dur, mais je n'avais pas le choix si je voulais rebondir. En France, vous avez beau afficher vingt ans d'expérience, sans diplôme, vous n'êtes rien." Pour payer sa scolarité au Cnam (12000 euros), ce fils de vendeur de fripes sur les marchés n'a pas hésité à se saigner à blanc. Et quelques mois après sa sortie, il a décroché un job dont il rêvait : directeur de la PME Aéroports Multi Services, basée à Roissy, qui gère un hôtel, des parkings et un parc de limousines. "De la rédaction d'un business plan à l'élaboration d'une stratégie marketing, les connaissances que j'ai acquises au Cnam me servent tous les jours", assure-t-il.
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