Вот как раз дочитал «Несуществующего рыцаря», вполне очарован. Но лучше предоставлю слово Барту:
Dans un ecrivain, il y a quelque chose qui toujour est tetu, toujours est entete, toujour, finalement, est irreductible – et, par la meme, il est tres difficile d’en parler – et qui est, disons, ce que l’on appelle encore la litterature… ou peut-etre l’ecriture, mais ne raffinons pas sur la distinction. Calvino a une ecriture qui est absolument specifique : comme tout grand ecrivain. On la reconnait. Et c’est ce que l’on appelle, dans le jargon scientifique, un idiolecte, une facon d’ecrire qui lui est propre. L’idiolecte d’ecrivain est toujour une sorte de dosage, la combinaison tres subtilement dosee d’un certain nombre de charmes – en prenant le mot au sens fort qu’il avait au dix-septieme siecle, c’est a dire d’enchantement -; un dosage d’enchantements, de traits de seduction, de traits de satisfaction a meme la langue ou a meme le recit – c’est difficile a dire…
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