Помогите с podcast'ом

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Всем доброго времени суток!

У меня сложилась одна проблема: есть подкаст, который мне надо записать. Проблема в том, что у меня большие трудности с восприятием на слух, а некоторые места я расслышать вообще не могу.

вот ссылка на сам подкаст (5 минут, там же можно и скачать): objectif demain

а вот мой хромой текст:

Speaker : «Objectif demain». Le podcast des technologies en marche. Bertrand Lenotre.

Bertrand Lenotre (puis BL) : Bonjour et bienvenue! Troisième épisode de notre série consacrée à l’alimentation de demain sur news.fr. Cette fois il sera question de ce qu’on pourrait appeler «la philosophie alimentaire de demain» et pour ça rencontre à l’INRA à l'Institut National de la Recherche Agronomique, avec Béatrice Darcy-Vrillon (puis BD-V) du départment Alim H, comme Alimentation Humaine.

BD-V : On envisage de l’alimentation tout au long de la chaîne alimentaire de la graine à l’assiette ou de l’étable à la table ou de la fourche à la fourchette. Finalement, quand on parle non plus de la fourche à la fourchette mais de la fourchette à la fourche à se dire : on remet le consommateur au centre un petit peu du dispositif et de l’intérêt pour remonter jusqu’à la conception finalement d’une alimentation et d’aliments qui seraient le plus favorable au maintien en bonne santé de consommateurs.

BL : La valeur santé des aliments ça s’appelle comme ça et ce n’est pas toujours simple dans un monde ultra industrialisé.

BD-V : Là ou c’est compliqué c’est que un même aliment peut être à la fois source de constituants bénéfiques pour la santé et contenir éventuellement des contaminants qui eux pourraient avoir un rôle préjudiciable. Par exemple dans le cas de la consommation de gros poissons qui sont à la fois bénéfique par leur apport en acide gras oméga 3 en chaîne longue mais qui peuvent aussi parce qu’ils sont des organismes marins qui vivent dans un milieu qui peut être pollué par des metaux lourds qui sont aussi source contaminants qui peuvent être relativement dangereux c’est toute la question de du bénéfice risques et de la façon et de la façon dont on peut évaluer d’abord les expositions alimentaires et puis arriver à avoir un point de vue un peu global par rapport à une recommandation sur un type d’aliment ou pas.

BL : La valeur risque des aliments et donc elle aussi est une composante essentielle de ce que nous retrouvons dans nos assiettes nous retrouvons dans nos assiettes et là il ne s’agit plus vraiment de faire vibrer la corde nostalgique?

BD-V : Y a une grave erreur de comisme à un moment donné qui a été d’opposer l’alimentation, les aliments d’origine industrielle et les aliments qu’on consommait venants du jardin de sa grand-mère ou des choses qu’on préparait chez soi et donc on a un peu d’une façon caricaturale abouti à cette idée que le naturel était très bien, très bon pour la santé et que l’industriel était mauvais. Alors c’est évidemment très caricatural et je ne pense pas qu’il faille voir les choses comme ça, on peut peut-être discuter du fait que les aliments qu’on nous propose et qu’on trouve maintenant dans nos supermarchés ou d’une manière un peu dessaisonnalisée sur les étals de marché où sont peut être moins goûteux que ce qu’on pouvait se procurer dans le jardin de sa grand-mère enfin je pense par exemple aux tomates qui est l’exemple classique maintenant en termes de sécurité les chiffres montrent que les intoxications alimentaires liées à des problèmes de toxicité aigue n’ont fait que décroître et on se rapelle pas forcement bien des problèmes que pouvaient poser certains conserves faites à domicile chez soi dans des conditions qui sont des conditions bien sûr d’hygiène beaucoup moins maitrisée que celles qu’on peut avoir dans les usines.

BL : Bon, la philosophie générale semble clairement déssinée pour le futur, on pensera en peu à la valeur plaisir si vraiment on a le temps. Parce que l’objectif principal c’est la santé.

BD-V : On sait qu’effectivement actuellement l’espérance de vie au monde d’une manière considérable puisque en gros tous les quatre ans, on gagne un an d’espérance de vie ce que montrent nos travaux, c’est que l’alimentation peut intervenir pour moduler ce vieillissement donc l’objectif c’est de faire en sorte que par la nutrition adaptée on puisse retarder le plus possible les effets du vieillessement et donc promouvoir le bien-vieillir.

BL : Et ce passera pour le futur dans nos assiettes par quelques aliments qui ne seront plus là pour bêtement nous nourrir.

BD-V : Y a une avancée conceptuelle assez importante dans le sens que on s’est rendu compte que les aliments finalement peuvent exercer en effet des effets biologiques bien au-dela du simple apport d’énergie ou de nutriments qui sont necessaires donc à la construction et au maintien des organismes.

DL : Ne parlez pas d’alicaments, les chercheurs n’aiment pas se tèrme mais préférez plutôt celui d’aliments fonctionels. Béatrice Darcy-Vrillon du département Alim H de l’INRA a très bientôt pour la suite et la fin de cette série de podcasts.

Speaker : Objectif demain, www.news.fr

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Заранее спасибо.